A Tchernobyl, heureusement non ! Pas d'irradiation des légumes ici. Il y a parfois des excès dans la prévention.
Je crois que les potagers ont permis à pas mal de personnes de tenir psychologiquement, en leur permettant d'y passer du temps, en plein air, à faire des choses qu'elles aiment, en plus de leur fournir légumes et fruits.
Il y a sans doute des parcelles disponibles dans les environs ? Mais il faut y consacrer beaucoup de temps et d'efforts. Ça fait vite mal au dos, aussi.
Maintenant, c'est un peu tard. J'aurais bien fait quelque chose sur un des terrains de mon ex belle famille ;-) mais c'était loin et je dois dire qu'à l'époque, je n'avais guère de temps. Même un potager dans des bacs carrés, je ne pourrais plus.
Oui ! Mais on se croirait presque à Tchernobyl.
RépondreSupprimerJe doute quand même que les potagers soient le premier foyer d'infection en Belgique.
Joyeux Noël quand même,
Carmilla
A Tchernobyl, heureusement non ! Pas d'irradiation des légumes ici. Il y a parfois des excès dans la prévention.
RépondreSupprimerJe crois que les potagers ont permis à pas mal de personnes de tenir psychologiquement, en leur permettant d'y passer du temps, en plein air, à faire des choses qu'elles aiment, en plus de leur fournir légumes et fruits.
Oui, c'est idéal... Cela m'aurait bien plu, un potager... Même si la terre est basse...
RépondreSupprimerIl y a sans doute des parcelles disponibles dans les environs ?
RépondreSupprimerMais il faut y consacrer beaucoup de temps et d'efforts. Ça fait vite mal au dos, aussi.
Maintenant, c'est un peu tard. J'aurais bien fait quelque chose sur un des terrains de mon ex belle famille ;-) mais c'était loin et je dois dire qu'à l'époque, je n'avais guère de temps. Même un potager dans des bacs carrés, je ne pourrais plus.
RépondreSupprimerPivoine.
Il faudrait imaginer des potagers sur des tables en hauteur => production de légumes et pas de mal de dos
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