samedi 31 octobre 2020

A la Mort Subite (3)


A l'intérieur, bien sûr, tout est figé en attendant des jours meilleurs.
 

Décédé / Mort

Ça m'a souvent frappé, et ça se vérifie à chaque fois : dans les journaux, en Belgique, quand un personnage célèbre meurt, on écrit "Untel est décédé" ; en France, c'est "Untel est mort".

Avec la mort de Sean Connery, la règle se vérifie une fois de plus. Les journaux belges, tels que "Le Soir" et "La Libre" utilisent le mot "décédé" et les journaux français (ici, "Le Monde" et "Le Figaro") écrivent "mort".

Même dans le langage courant, c'est la même chose. Les Belges, surtout ceux d'un certain âge, disent "Untel est décédé" plutôt que "Untel est mort".

Je déteste ça. Je déteste ce mot, décédé. Je le ressens à la fois comme un euphémisme, pour ne pas nommer la mort, et aussi comme un élément de jargon administratif.

En outre, je ne sais pas si c'est comme ça en France, mais en Belgique, quand on parle du père ou de la mère de quelqu'un, on dit "le papa d'Untel" ou "la maman d'Untel". Je trouve très cucul la généralisation des termes "papa" et "maman" dans la sphère publique, qui a quelque chose d'infantilisant.

Le sommet est atteint quand on entend des phrases comme "son papa est décédé en clinique", au lieu de "son père est mort à l'hôpital". Parce qu'en Belgique, sans doute aussi par euphémisme, on préfère dire "clinique" que "hôpital", ça sonne sans doute moins rude.




A la Mort Subite (2)


Portes closes...
J'aime bien aller à la Mort Subite, pour déguster la bière à la pêche maison, avec du "kip-kap".

A la Mort Subite (1)


La célèbre brasserie "A la Mort Subite" était, elle aussi, fermée.

vendredi 30 octobre 2020

Mokafé fermé


Et donc, à nouveau, mon cher Mokafé est fermé. Lors de mon dernier passage, j'ai vu qu'on pouvait acheter un café, voire un café et un croissant, à emporter. Par la fenêtre, j'ai photographié le café désert, en hibernation. Sur une petite table, un flacon de gel hydroalcoolique, un objet emblématique de l'époque.

Ce soir, vendredi 30 octobre, comme la France, la Belgique se reconfine.

Psychologie sociale du coronavirus (épisode 16): le dilemme infernal et l'exponentielle - Un texte d'Olivier Klein

Je reproduis ici, avec son accord, un billet très pertinent d'Olivier Klein, professeur de psychologie sociale à l'Université Libre de Bruxelles et à l'Université de Mons, paru sur son blog le 24 octobre dernier. 


"Dans l'Echo de ce matin, une étudiante liégeoise explique pourquoi elle ne prend pas de mesures particulières pour se protéger du virus : celles-ci ont été édictées pour pénaliser les jeunes, elle ne voit que ses "potes", ils sont peu à risque, restent entre eux, et ceux qui ont déjà contracté la maladie n'ont eu que des formes bénignes.

Voilà le type de raisonnement qui explique (en partie) pourquoi Liège est une des villes les plus touchées d’Europe. Pour infondé qu’il soit d’un point de vue médical, le raisonnement de cette jeune femme est une réponse à un dilemme auquel nous sommes tous et toutes confronté·es dès lors que se présente la possibilité de passer un peu de temps avec autrui. 

Versant A : En entrant en contact avec autrui, je peux potentiellement transmettre le virus (ou inversement). Cette transmission peut potentiellement toucher des personnes à risque. Celles-ci peuvent potentiellement voir leur santé se dégrader et contribuer à la surcharge des hôpitaux. Cette chaîne infernale repose sur de nombreux «potentiellement» et chacun de ces risques, considéré isolément, est relativement faible. Peu de personnes asymptomatiques portent le virus. Parmi celles-ci, toutes ne sont pas fortement contagieuses. Et quand bien même le virus se transmettrait, un optimiste peut nourrir l’espoir que la chaîne de transmission qui est la sienne s’interrompe avant de susciter des dégâts (grâce à la quarantaine ou aux mesures barrière). 

Versant B : En entrant en contact avec autrui, un·e proche, un·e parent, un·e·amie, voire une relation professionnelle, je peux obtenir une gratification importante pour l’un·e d’entre nous (ou les deux). Partager une joie ou un chagrin, une transaction mutuellement bénéfique, célébrer une date d’anniversaire, une bonne tranche de rigolade ou plus si affinités. L’issue de la rencontre n’est peut-être pas absolument certaine mais on n’en est souvent pas loin. Je sais par exemple que si je vais jouer au poker avec un groupe d’amis (toujours le même), les chances que je partage un bon repas et me change diantrement les idées après une semaine de boulot intense sont très élevées et le sont certainement bien plus que le risque de diffusion du virus. 

En d’autres termes, le dilemme appliqué à une rencontre avec un contact jugé comme important n’en est pas un : d’un côté, j’encours un risque qui semble subjectivement très faible (pourvu que personne n’ait de symptôme). D’un autre, je gagne un bénéfice qui semble quasiment certain. 

Du point de vue de l’individu amené à décider si oui ou non, il décide d’entrer en contact avec son partenaire, le choix peut sembler évident. C’est le raisonnement que suit l’étudiante liégeoise. Notre tendance est souvent d’approcher ce type de dilemme un à un. Cette approche à court terme se soldera sans doute très souvent par la décision la plus bénéfique au virus. 

En réalité, c’est la multiplication de tels choix par un même individu et, au sein d’une population, par plusieurs individus, qui transforme un choix rationnel à un niveau individuel en une catastrophe sanitaire. Si les risques ne sont que d’évanescentes potentialités pour l’individu, ils deviennent des réalités bien tangibles au niveau d’une ville, d’une région ou d’une nation en termes de couloirs d’hôpitaux encombrés, d’ infirmiers et d’infirmières dépassés, de morts à enterrer, etc. La mécanique infernale de la transmission et la loi exponentielle qui la caractérise y veillent.

C’est aussi pourquoi parier sur la responsabilité individuelle, comme l’a fait le comité de concertation hier matin, est un choix très périlleux. Au niveau individuel, le dilemme que je viens de décrire favorisera très souvent le contact, aidé en cela par des justifications plus ou moins teintées de mauvaise foi («nous porterons un masque», «on se lavera les mains», "on meurt plus de solitude que du virus" , "il y a d’autres problèmes sur terre que le coronavirus"…)

Même si de nombreuses mesures permettraient de contribuer à rendre notre environnement moins propice à la propagation du virus (augmenter les cadences de transports en commun par exemple) plutôt que de cibler uniquement l’individu, force est d’admettre que les restrictions à la liberté individuelle, pour détestables qu'elles puissent paraître, semblent être un impératif nécessaire dans ce contexte très particulier. Selon la logique utilitaire du dilemme infernal, il importe que le coût de la rencontre soit plus élevé pour rendre le choix moins aisé. Si le contact en question implique d’enfreindre délibérément une loi, on y sera peut-être plus sensible. En outre, comme je l’expliquais dans un billet précédent, une loi (ou un arrêté) a valeur de norme sociale, un des plus puissants moteurs (ou freins) du comportement. 

Mais plus fondamentalement, je suis convaincu que, pour vaincre cette pandémie, il importe que chacun ne formule pas ce type de choix au niveau individuel, mais à un niveau collectif. Qu’est-ce que cela nous apporte et nous coûte que de garder des contacts physiques avec des personnes extérieures à notre «bulle»? Formulé de cette façon, le dilemme penche clairement pour une restriction des contacts. J’ai le sentiment, étayé en partie par les données du baromètre de l’Université de Gand, que de nombreux Belges étaient prêts à adopter cette perspective et accepter des mesures plus dures. En proposant un menu allégé, le comité de concertation a laissé entendre que le pouvoir politique n’était pas prêt à incarner un pays solidaire et prêt à faire des sacrifices. Or, c’est essentiel pour vaincre cette pandémie."

***

"PS : Un commentaire  de mon collègue de l'UCLouvain, Vincent Yzerbyt, qui complète utilement ce billet (et auquel je souscris totalement) : 

"Comme j'ai eu l'occasion de le dire à maintes reprises dans divers médias, la liberté individuelle ne peut, dans le cas d'espèce, s'envisager sans un cadre collectif. De même, imaginer de se déplacer en voiture de façon 'libre' sans un code de la route relève du déni pur et simple des risques inhérents à un trafic comme nous le connaissons. Les gens opposés au port du masque pensent-ils vraiment qu'ils ne s'arrêteront jamais à un feu rouge par pur souci de l'affirmation de leur liberté individuelle, prétendument non-négociable. Ceci étant, la recherche suggère qu'il faut idéalement mettre les intérêts individuels au diapason du collectif, et je pense qu'il est légitime de dire que le comité de concertation a essayé de faire cela. Ce que nos dirigeants n'ont pas saisi, c'est que dès lors qu'une telle démarche s'avère fructueuse, il eut été précieux de proposer un durcissement des mesures que, du coup, tout le monde aurait accueilli favorablement. Une telle combinaison aurait définitivement permis de mettre en place des normes sociales puissantes susceptibles de nous épauler dans la lutte contre la pandémie"

Parcours fléché (4)


Un urinoir sur les trois est provisoirement condamné. Se contaminer en parlant à son voisin de pissotière, voilà qui ne serait vraiment pas de chance. 

Un contestataire (coronasceptique ?) n'a pu s'empêcher de faire part de son désarroi interrogatif.

Parcours fléché (3)


A l'entrée des toilettes des hommes, sens uniques protecteurs.

jeudi 29 octobre 2020

Parcours fléché (2)


Arrivé au sous-sol, on se trouve face à un véritable réseau ferroviaire : en plus de l'aller et du retour, il y a les embranchements vers les toilettes des hommes et celles des femmes. Ne manquent plus que les aiguillages et le chef de gare.

Parcours fléché (1)


Samedi dernier, l'avant-veille de la fermeture provisoire des cinémas à Bruxelles, je suis allé voir le très beau documentaire "Sing me a song", où l'on voit les transformations radicales induites par l'introduction d'internet et des smartphones au Bhoutan. Avant le film, je suis allé aux toilettes et j'ai donc pu photographier le fléchage au sol, dans les escaliers et les couloirs. Je me suis déjà amusé à jouer au "petit train" en suivant soigneusement ces fléchages.

Le chat du Mokafé (2)


Un beau chat tigré, soyeux, qui me fait penser à Pacha.

Le chat du Mokafé (1)


Dans les galeries Saint-Hubert, je suis repassé devant ma brasserie préférée, le Mokafé, à nouveau fermée. Le chat de la maison, comme souvent, paresse derrière la fenêtre. Quand sera-t-il à nouveau possible de retourner au Mokafé, d'y passer de bons moments, de manger un quartier de tarte avec un café, de boire une bière artisanale (par exemple une Omer, une Hopus, une Triple Karmeliet) ?

mercredi 28 octobre 2020

C'est reparti


Les bars et les cafés ont été fermés. Les restaurants ont suivi. C'est la seconde vague, et on est entré dans une sorte de reconfinement.

Cercle végétal


En marchant dans le centre de Bruxelles, près de la Gare Centrale, ce cercle d'herbes a attiré mon regard.
 

Pessoa


Après avoir fermé les bars et les cafés à Bruxelles (une décision régionale), on a fermé les restaurants dans tout le pays (une décision nationale cette fois), face à l'aggravation exponentielle de la pandémie. 

Le Pessoa, un petit café-resto portugais de mon quartier, où j'ai mes habitudes, est fermé au moins jusqu'au 19 novembre. J'aime y déguster du riz à la lotte, du porc à l'alentejane (avec des coquillages), du poulpe grillé, avec du vinho verde. 

On voit que l'établissement avait pu étendre sa terrasse, en utilisant des palettes de réemploi. 

Et depuis le début de cette semaine, à Bruxelles, les cinémas, les théâtres, les centres culturels sont fermés. La prochaine étape : un confinement strict ?

Enfin, voici un billet de blog extrêmement pertinent : "Le dilemme infernal et l'exponentielle", écrit par un professeur de psychologie sociale à l'ULB.

mardi 27 octobre 2020

Couvre-feu aux étangs d'Ixelles


Une petite vidéo que je viens de tourner depuis mon balcon : deuxième soir de couvre-feu à 22 heures à Bruxelles. Il est 22 h 30. Calme total dans les rues. Un passant isolé marche sur le trottoir et disparaît. Un bus vide passe. On entend les jets d'eau qui oxygènent les étangs. La chaussée brille après une petite pluie. Pas de voitures en ballet incessant. Pas de jeunes en bande qui gueulent, comme trop souvent dans ce quartier. Quelle sérénité.

Ma cinémathèque personnelle


En attendant, plus que jamais, par ces temps incertains, j'utilise les ressources de ma cinémathèque personnelle...

lundi 26 octobre 2020

Je n'y croyais pas vraiment, à la deuxième vague


Fin juillet, il y a trois mois donc, j'avais lu dans le journal "La Libre" un article qui envisageait une deuxième vague de Covid-19. Il se référait à une étude faite par deux scientifiques flamands. Eh bien voilà, nous y sommes.

Je reproduis l'article ci-dessous, avec la fameuse illustration qui m'avait fait dire à l'époque : "non, quand même, ils sont sérieux ?".

Eh bien voilà. Ils avaient raison.


"La perspective est effrayante au regard de ce qu’il s’est passé ces derniers mois  : la deuxième vague tant redoutée, qui semble avoir pris son envol depuis deux semaines, pourrait avoir des conséquences bien pires que celles connues au plus fort de la première vague si des mesures restrictives fortes n’étaient pas prises dès aujourd’hui pour endiguer cette évolution néfaste.


Selon les chercheurs flamands Geert Molenberghs (du Centre de biostatistique et de bioinformatique statistique de la KULeuven) et Kurt Barbe (professeur au département de mathématiques et au département de santé publique de la VUB), le nombre de cas de contaminations devrait afficher une courbe exponentielle jusqu’au mois d’octobre au moins. Avec elle, la courbe des hospitalisations devrait également progresser dangereusement, au point d’arriver à son apogée en novembre.


Selon cette courbe, on frôlerait la barre des 10.000 personnes hospitalisées pour cause de coronavirus pour le début du mois de novembre. À titre de comparaison, le nombre maximum de personnes hospitalisées simultanément durant la première vague de l’épidémie avait été atteint le 6 avril, avec 5.759 personnes hospitalisées.


Au plus fort de l’épidémie, la barre des 300 décès quotidiens enregistrés était régulièrement atteinte. Selon les calculs réalisés par Kurt Barbe et Geert Molenberghs, le nombre de décès devrait exploser, notamment car les services hospitaliers seraient alors complètement saturés. “Les derniers chiffres concernant les hospitalisations publiées par Sciensano augmentent considérablement par rapport au modèle réalisé précédemment, souffle Kurt Barbe. Avec un facteur de contamination de 1,2 (NDLR : une personne souffrant du Covid en contaminerait 1,2 autour d’elle), j’ai bien peur que les données soient conformes aux attentes pessimistes qui ont été faites à la mi-mai.”

Et le scientifique de craindre que des reconfinements locaux – comme cela se passe dans plusieurs pays d’Europe – ne deviennent inévitables. “J’ai peur que les lockdowns locaux ne puissent pas être évités, confirme Kurt Barbe. C’est comme pour des feux de forêt difficiles à contrôler : la croissance exponentielle s’installe. C’est lent, donc les gens minimisent l’impact de cette croissance. Mais c’est typique d’un processus multiplicatif.”

Kurt Barbe espère toutefois qu’une prise de conscience permettra d’inverser la courbe. “Nous avons jusqu’au 31 juillet pour inverser la croissance, la stabilisation ne suffit pas.”


Et voici la note qui accompagnait la communication des deux scientifiques (traduction du texte en néerlandais) :


"Je n'avais pas l'intention de mettre à jour le dernier article si tôt. Les derniers chiffres d'hospitalisation publiés par Sciensano montrent une augmentation plus forte que ce que j'ai publié plus tôt. Mon modèle maintient le facteur R actuel à 1,2064. Hier, le collègue Geert Molenberghs a donné un aperçu des projections que nous avons faites avec les différents modélisateurs à la mi-mai, à quoi ressemblera une deuxième vague. Je crains que les données ne correspondent aux attentes pessimistes qui avaient été faites à l'époque. Je crains que les verrouillages locaux ne puissent être évités de cette manière. Ils sont comme des incendies dans une forêt, ce qui est difficile à contrôler. Une croissance exponentielle est en cours et les gens ne sont pas suffisamment conscients qu'il s'agit d'un processus multiplicatif. C'est lent, ce qui signifie que les gens minimisent rapidement, mais c'est inhérent à un processus multiplicatif. Nous avons encore jusqu'au 31 juillet pour inverser la croissance, la stabilisation ne suffit pas.

J'espère apporter de meilleures nouvelles la prochaine fois ..."

Douceurs (5)


Une belle décoration de table, très automnale.

Douceurs (4)


Des physalis. La première fois que j'en ai mangé, je ne savais pas qu'il fallait enlever l'enveloppe...

Douceurs (3)


On mange aussi avec les yeux...

dimanche 25 octobre 2020

Douceurs (2)


Des mini-tomates, des framboises jaunes, des petits piments rouges...

Douceurs (1)


Un soir à Avioth, il y a eu un buffet et une petite fête en l'honneur d'un jeune wooffeur allemand (bénévole affecté au potager) qui repartait dans son pays après huit mois de présence.

Escalier fléché


Trois semaines plus tard, à la gare de Bruxelles-Luxembourg, je reprenais le train pour aller à Virton (et de là à Avioth). Dans cette gare, j'ai remarqué le fléchage spécial Covid-19 dans les escaliers : à gauche, la montée, à droite, la descente.

samedi 24 octobre 2020

Train masqué


Après mon avant-dernier séjour, j'ai repris le train de Virton à Bruxelles. Depuis pas mal de temps, bien avant l'ère du Covid-19, je prends des "RailPass" de 1ère classe (12 euros et des poussières, au lieu de 8, pour voyager en train en Belgique, même sur 200 kilomètres). Je voyage alors dans un véritable salon roulant, au calme, avec peu de monde, et aucun risque de promiscuité en ces temps d'alerte sanitaire. Lire dans le train, je pourrais le faire pendant des heures.

Le soir à Avioth


L'heure "entre chien et loup" à Avioth.

vendredi 23 octobre 2020

Le soir à Breux


Le soir tombe dans la rue principale de Breux, village voisin d'Avioth. Dans une des maisons, on trouve un pub tenu par un Anglais, et où on joue souvent de la musique.

La petite maison blanche (3)


En version noir et blanc, ça donne bien aussi, je trouve.

La petite maison blanche (2)


Elle est simplement mignonne, cette maison...

jeudi 22 octobre 2020

mercredi 21 octobre 2020

Lumière végétale (1)


En balade dans la campagne, la forêt, repérer les lumières, les pinceaux de lumière qui magnifient les plantes...

Près de Gérouville


La campagne près de Gérouville, en septembre.

lundi 19 octobre 2020

L'alien (5)


En fait, c'était un homme de paille.

L'alien (4)


De face, il a encore un peu l'air d'un astronaute. On devine l'enclos avec les essais de cultures, à droite.

L'alien (3)


Ah bon, d'accord. Ce n'était pas un alien, mais un épouvantail new look, en plastique blanc, destiné à éloigner les oiseaux de petits essais de culture en lisière de forêt.

dimanche 18 octobre 2020

L'alien (2)


Je me suis approché...

L'alien (1)


En arrivant à la Croix Jean de Dieu, flanquée d'un banc où j'aime bien m'asseoir quand je fais cette balade, je remarque, à l'arrière-plan, ce qui semble être un extraterrestre en combinaison spatiale.

samedi 17 octobre 2020

lundi 12 octobre 2020

Peste porcine africaine


La Gaume a été, il y a quelque temps, touchée par la peste porcine africaine, une maladie mortelle qui touche les sangliers et les porcs. Pendant de longs mois, les bois ont été inaccessibles. Aujourd'hui, le droit aux promenades est rétabli, mais est assorti de mesures de précaution.

samedi 10 octobre 2020

Troncs (3)


Je ne me lasse pas d'être à l'affût de détails, de taches de lumière, dans les sous-bois.

vendredi 9 octobre 2020

Troncs (2)


Ces petits champignons sont peut-être esthétiques, mais ils ont un impact délétère sur l'arbre.

mercredi 7 octobre 2020

La cabane dans les bois


A vingt minutes de marche d'Avioth, dans la forêt, je retrouve cette cabane avec plaisir. Juste à côté, il y a quelques chaises en plastique empilées ; il m'arrive d'en emprunter une et de lire un moment dans la clairière.

mardi 6 octobre 2020

Le chevalet


Un petit chevalet devant la maison d'un peintre (un Russe de la communauté ossète) qui vit à Avioth.

dimanche 4 octobre 2020

Géométrie légumière


Lors de la préparation du repas, certains, je l'ai parfois remarqué, alignent les légumes de façon géométrique. Cela fait des sortes de petits tableaux.