jeudi 31 décembre 2020

Le petit train de Forest (4)


Le petit train de Forest (3)



Le petit train de Forest (2)


J'ai donc fait le parcours du petit train à pied (sans faire "tchouk tchouk" toutefois).

Le petit train de Forest (1)


En continuant le parcours de la Promenade Verte, on arrive au Parc du Bempt, à Forest, où l'on découvre le Petit Train à Vapeur de Forest. Un réseau miniature, avec des locomotives à vapeur ou électriques, qui constitue une attraction charmante à la belle saison. Evidemment, lors de mon passage, tout était fermé, mais j'ai pris plaisir à suivre le tracé des voies d'un monde lilliputien.

mercredi 30 décembre 2020

A Forest (8)


Mobilier et signalétique urbain(e)s, snack-tearoom à l'esthétique, disons, discutable. Eléments du paysage urbain.

A Forest (7)


Quand j'ai vu cette vitrine, j'ai eu un moment de frayeur : "incinération collective certifiée". Voilà qui rappelait des heures sombres de l'Histoire, et qui pouvait faire frémir par ces temps de pandémie. Et puis non, c'était la vitrine d'un taxidermiste, qui s'occupait aussi des obsèques animales. Ouf.

A Forest (6)


A la sortie d'un dépôt de trams.

lundi 28 décembre 2020

A Forest (1)


L'itinéraire de la Promenade Verte traverse alors la commune de Forest, où alternent zones humides, espaces naturels, dépôts et bâtiments industriels.

Keyenbempt (21)


Moulin du Nekkersgat


Extrait de la fiche de Bruxelles-Environnement sur le Keyenbempt : 

Le moulin du Nekkersgat

Même s’il ne fait pas partie du Keyenbempt, le moulin du Nekkersgat n’en constitue pas moins l’un de ses attraits. La vieille rue pavée du Keyenbempt y conduit d’ailleurs directement. Les aménagements du site ont dès lors été pensés pour ouvrir de belles perspectives vers ce vénérable bâtiment.

Restauré en 1970, puis classé en 1977, le moulin du Nekkersgat est le dernier exemple des 13 moulins qui, à Uccle et Forest, utilisaient la force motrice du Geleytsbeek pour faire tourner leur roue. La première mention de ce moulin date de 1384. Il aurait servi à l’aiguisage, puis au broyage de la pâte à papier avant d’être transformé, en 1667, en moulin à huile d’éclairage. Les bâtiments de style brabançon datent de cette époque. La famille Gaucheret, à l’origine de cette transformation conservera le moulin pendant près de 250 ans. Au 18siècle toutefois, elle changera à nouveau son affectation, optant cette fois pour la farine. La machinerie sera remplacée par une cabine électrique après la première guerre mondiale. Loué à un particulier et à un artisan ferronnier, le moulin, qui n’est plus en état de fonctionner, appartient aujourd’hui à la Commune d’Uccle.

mercredi 23 décembre 2020

Keyenbempt (6)


Objets divers et variés, y compris un corbeau noir.

Keyenbempt (5)


J'aime beaucoup voir les potagers urbains. Outre les avantages en matière d'approvisionnement en légumes et fruits, le plaisir que cela procure à beaucoup de gens de s'occuper de leur parcelle, ça a aussi pour moi un intérêt esthétique, culturel. On y voit souvent des exemples d'art populaire, des aménagements étonnants et poétiques.

Keyenbempt (4)



Keyenbempt (3)


Une petite série sur les potagers du Keyenbempt.

mardi 22 décembre 2020

Keyenbempt (2)


Le site du Keyenbempt comprend un ensemble de potagers urbains. 

Keyenbempt (1)


J'ai continué le parcours de la "Promenade verte" au travers de la commune d'Uccle. Le chemin passe alors par le Keyenbempt, une zone humide bien protégée et réaménagée en promenade, parc et potagers. A l'entrée, l'inévitable panneau rappelant le port obligatoire du masque, comme partout à Bruxelles. Dans les rues désertes, et surtout dans les espaces naturels, je ne le porte pas (de l'air, de l'air !).

Kriekenput (7)


samedi 19 décembre 2020

Kriekenput (1)


Le parcours traverse ensuite la réserve naturelle de Kriekenput-Kinsendael.

Promenade 2 x 2


Les samedis et les dimanches, on observe souvent un phénomène typique : les promenades 2 x 2. Monsieur et Madame A font une petite balade avec leurs amis, Monsieur et Madame B. Ce sont souvent des trentenaires ou quadragénaires dynamiques, bien insérés socialement, mainstream, avec des boulots stables et productifs. 

On fait donc une balade ensemble, on papote (du boulot dans leurs "boîtes" respectives, des enfants qui grandissent, des travaux dans la maison, d'informatique, de placements financiers, des beaux-parents). 

On ne regarde pas beaucoup le paysage, on ne commente pas ce que l'on voit sur le chemin, la couleur des feuilles, la texture des mousses, la beauté de la lumière, le charme d'une vieille bicoque. 

Et surtout, très classiquement, très typiquement, on marche à 2 x 2 (ou 2 + 2, si l'on veut). Monsieur A et Monsieur B marchent devant, côte à côte, et parlent souvent de "trucs d'hommes", Madame A et Madame B marchent derrière, côte à côte, et parlent souvent de "trucs de femmes".

Car enfin, c'est évident ; si on marche à deux couples, les couples ne vont pas rester collés, ils se voient déjà toute la semaine. On n'aura pas non plus le cas de figure : Monsieur A et Madame B marchent devant, et parlent de trucs ni spécialement d'hommes ni spécialement de femmes ; Monsieur B et Madame A marchent derrière, etc. Ça ferait un peu "échangiste" (oufff) et puis, il est vrai, si vous ne les connaissez pas, ce ne serait pas repérable.

Donc, la sociabilité en balade des couples lambda, c'est ça : les deux♂devant, les deux♀derrière. Les deux♂vous le diront d'ailleurs : "on se comprend tellement bien entre mecs". Les deux♀vous le diront aussi : "on se comprend tellement bien entre filles".

vendredi 18 décembre 2020

Lisse (3)


Et ici, à côté d'un immeuble complètement insipide, ils ont eu l'idée lumineuse de placer, sur un carré ad hoc, un vieux tonneau des temps anciens, pour faire pittoresque. 
 

Lisse (2)


C'est à peine mieux ici. Des cubes emboîtés, avec des terrasses pour chaque appartement, sur le toit des appartements de l'étage inférieur. De la verdure, et des clôtures à la mode (des pieux irréguliers en bois, qui fleurissent partout dans nos villes, aujourd'hui).

Lisse (1)


En continuant à traverser la commune d'Uccle, on voit aussi des paysages urbains comme celui-ci : lisse, fade, cossu mais sans caractère, ni beau ni moche, quelconque. La banalité incarnée.

mercredi 16 décembre 2020