mercredi 30 décembre 2020

A Forest (7)


Quand j'ai vu cette vitrine, j'ai eu un moment de frayeur : "incinération collective certifiée". Voilà qui rappelait des heures sombres de l'Histoire, et qui pouvait faire frémir par ces temps de pandémie. Et puis non, c'était la vitrine d'un taxidermiste, qui s'occupait aussi des obsèques animales. Ouf.

2 commentaires:

  1. Les cimetières animaux, c'est l'avenir !
    Je ne sais pas ce qu'il en est en Belgique.
    A Paris, il y a le cimetière d'Asnières qui est assez important.
    Peut-être même qu'avec le triomphe du mouvement anti-spéciste, de la reconnaissance des Droits animaux, on enterrera bientôt dans un même espace, indifféremment, hommes et animaux. Reposer aux côtés de Mirza (ou de Pacha pour vous), ce sera peut-être ça la modernité.

    Bien à vous,

    Carmilla

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  2. Il y a au moins quatre cimetières animaux en Belgique francophone, ai-je lu (deux à Liège, un à Charleroi, un dans le Brabant wallon). Je comprends que les gens n'aient pas envie que leur animal favori soit enterré ou incinéré n'importe comment, mais il faut savoir raison garder.

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