mercredi 31 juillet 2019

Amandine (23)


Sur le pont de l'Amandine, on a disposé des filets de pêche, dont l'intérêt graphique est évident pour le photographe.

Amandine (22)


La salle à manger de l'équipage. On remarque les croisillons de bois destinés à empêcher que les assiettes et les verres ne tombent au sol quand les vagues se font sentir.

Amandine (21)


Toujours dans la salle des machines. Pour le profane (dont je suis), l'esthétique même des machines, des instruments, est intéressante, même si je n'ai aucune idée de leur fonction.

mercredi 24 juillet 2019

Amandine (15)


Le dortoir des marins et une table où ils pouvaient, notamment, lire les journaux.

lundi 22 juillet 2019

Amandine (13)


Des personnages grandeur nature, des objets d'époque bien choisis, tout concourt à l'intérêt de la visite.

Amandine (12)


Dans les cales du chalutier, les poissons s'accumulent. Une très belle reconstitution et des décors convaincants. Des infos sur ce musée ici.

Amandine (11)


dimanche 21 juillet 2019

Amandine (10)


Le long du chalutier "Amandine", une petite rue commerçante a été reconstituée, avec un ou deux cafés, une poissonnerie et un lieu de prostitution signalé par son néon rouge.

Amandine (9)


jeudi 18 juillet 2019

Amandine (4)


J'ai toujours aimé les reconstitutions de la vie quotidienne, avec des mannequins, des objets etc. Dans le musée de l'"Amandine", j'ai été servi.

Amandine (3)


mercredi 17 juillet 2019

Amandine (2)


Jusque dans les années 90, des chalutiers ostendais allaient dans les eaux islandaises, en quatre jours de voyage, pour en ramener des tonnes de poisson. L'"Amandine" est le dernier d'entre eux.

mardi 16 juillet 2019

Amandine (1)


Tout près de la gare, aux abords du port de pêche, le chalutier "Amandine" est devenu un musée, dont la visite est absolument passionnante.

Veiligheid - Sécurité (8)


Avec quelques notes de musique, c'est évidemment plus gai.

lundi 15 juillet 2019

Veiligheid - Sécurité (7)


Aux abords du Mur de Berl..., euh d'Ostende, la nature retrouve ses droits.

Veiligheid - Sécurité (6)


Dans ce contexte, même un distributeur de tickets de parking ressemble à un outil de surveillance.

samedi 13 juillet 2019

Veiligheid - Sécurité (3)


C'est à la fois impressionnant et très graphique. Je vous conseille par ailleurs le très bon documentaire de Sophie Bruneau, "La corde du diable", sur l'histoire et le développement du fil de fer barbelé aux Etats-Unis.

Veiligheid - Sécurité (2)


vendredi 12 juillet 2019

Veiligheid - Sécurité (1)


Aux abords de la gare d'Ostende, de multiples clôtures, de fil de fer barbelé ou autres, des enceintes, des murs, tout un attirail sécuritaire empêche d'accéder au port de marchandises. Volonté d'empêcher des migrants de passer vers les bateaux à destination de l'Angleterre, des voleurs de franchir les limites ? Un peu tout cela à la fois, sans doute. C'est un décor impressionnant et, à sa manière, photogénique.

A la gare d'Ostende (3)


A la gare d'Ostende (2)


Lors de la récente rénovation de la gare, une grande verrière polychrome a été installée au-dessus des voies. Elle est plutôt d'un bel effet.

jeudi 11 juillet 2019

A la gare d'Ostende (1)


Lors d'une semaine caniculaire récente, je suis allé par deux fois passer une journée à Ostende, la côte belge étant le seul endroit du pays où régnait une température civilisée. Ça m'a donné l'occasion de revoir le beau hall de la gare d'Ostende.

Un beau texte de Jean-Claude Guillebaud

Comme je l'ai déjà dit ici, je n'aime pas l'été, la chaleur, le soleil et la sécheresse. Mais j'ai trouvé, dans un numéro récent du magazine "La Vie" (qui arrive à Avioth), un très beau texte de Jean-Claude Guillebaud sur l'été dans sa contrée d'origine, la Charente.

L'été retrouvé (Jean-Claude Guillebaud)

A chaque retour de voyage vers ce petit pays charentais où j'ai mes pénates, c'est l'été retrouvé qui me bouleverse le plus. Les prairies sont sèches, les tilleuls sentent le miel, une fine poussière craque un peu sous la dent. Et chaque fois j'ouvre la porte de la maison avec un bonheur délicieusement apaisé. Certes, venant de loin, il m'est souvent arrivé de rentrer chez moi sous une pluie triste de février, dans un froid novembre ou même au milieu d'un bel automne à champignons. Il n'empêche ! C'est toujours des retours d'été que je me souviens, et d'eux seuls. Et pourquoi donc ?

Sans doute parce que le monde extérieur, alors, nous oublie tout à fait. Nous ne sommes pas balnéaires comme Royan ou La Rochelle, ni même touristiques. Nous n'avons ni plages ni montagnes, lacs immenses ou merveilles du monde à tarifer pour le mois d'août. Sauf quelques Anglais cramoisis, cherchant leur bonheur à bicyclette du côté de la forêt d'Horte, nulle cohorte criarde ne nous traverse à date fixe. En été, cet arrière-pays plus nettement à l'écart nous appartient, à nous seuls, avec ses foins coupés, ses rouleaux de paille alignés comme des moquettes de géants, ses chemins qui errent dans la campagne et ses chapelles romanes que plus grand monde ne visite, mais que le lierre menace.

Nos étés sont solitaires. C'est une vertu, par les temps qui courent. Ce n'est pas tout. Ils sont apaisés, alanguis même. Quelques semaines plus tôt, ce n'était pas encore tout à fait le cas. Il y avait encore l'effervescence du printemps avec toutes ces germinations qui agacent l'âme et les sens, ces fleurs profuses et ces odeurs ajoutées, cette belle agitation chlorophyllienne qui nous met littéralement sens dessus dessous. Au lieu que l'été, ici, est plutôt minéral, immobile et finalement assez austère sous cette pluie de lumière qui tombe du ciel dès huit heures.

Avec l'immobilité s'installe évidemment le silence. Et c'est peu de dire qu'il est impérieux. En août, on dirait que le pays tout entier ne parle qu'à mi-voix, et encore rarement, quand une occasion l'impose, comme à regret. Le foin rentré, la luzerne ensilée depuis longtemps, les champs redevenus vulgaires friches pour trois ou quatre semaines, les oiseaux taiseux, asphyxiés dès le matin par la chaleur, il n'y a donc plus que du pur silence à récolter dans la campagne. Et les villages eux-mêmes, un peu mauresques sous le soleil, un peu andalous pour les figuiers dans les cours de ferme et les géraniums rouge sang, sont assiégés par ce même silence. 

C'est le temps des volets tirés sur la pénombre des chambres où grésille une mouche. C'est le temps des cuisines fraîches où les chiens écroulés sur le carrelage font des rêves avec de petits jappements somnambules. C'est le temps des siestes peuplées de voyages au long cours vers le cap des Aromates ou les palais de Cibola, songes appareillés où l'on essaie parfois de courir sans trop s'étonner de cette paralysie confuse du sommeil. C'est le temps à ce point immobile où l'on oublie volontiers la date et l'heure.

Le soir, quand la Charente douce et vide glisse devant nous dans la nuit, alors voilà un mot - au singulier - enfin réinventé, un mot dont l'étymologie ne manque ni de charme ni d'une belle gravité : la Vacance. N'oubliez pas, s'il vous plaît, la majuscule. 

("La Vie", 27 juin 2019, p. 98)

mardi 9 juillet 2019

Paysages ferroviaires (1)


Quelques images prises dans les gares. Ici, j'attendais un train en gare d'Arlon, et j'ai vu ces répétitions chromatiques (le rouge-orangé de la clôture, d'un vêtement, des sacs, de la coiffure d'une femme, le jaune du train et d'un panneau) qui m'ont tapé dans l'oeil.

Gueules de campagne (3)


Contrairement à la plupart des communes environnantes, marquées par un fort vote Rassemblement national (RN), Avioth a donné l'avantage à la liste de la République en Marche, suivie par les Verts.

Gueules de campagne (2)


lundi 8 juillet 2019

Gueules de campagne (1)


Au mois de mai, à Avioth, comme partout en France, fleurissaient les affiches pour les élections européennes. Ici, la tête de Yannick Jadot (Europe Ecologie - Les Verts) voisine avec la bonne bouille d'un toutou qui appelle à voter pour le Parti animaliste (celui-ci a tout de même eu 2,2 % des suffrages exprimés en France).

mercredi 3 juillet 2019

Ruche


Des responsables du potager, à Avioth, ont réalisé une ruche qu'ils vont bientôt installer dans le jardin, dans le but de favoriser la pollinisation des plantations.

mardi 2 juillet 2019