Ce cliché d'une prairie givrée, je le ressens comme une image possible du bonheur. Bien sûr au-moins celui du promeneur solitaire au petit matin, quand il est tout à l'écoute, que tout est promesse, qu'il peut se pencher avec humilité et disponibilité autant que joie et quiétude sur ce sol émouvant où nos vies retourneront. Mais au-delà, comme une image idéale possible d'une égalité fraternelle dans le multiple où l'on voit qu'est supporté avec élégance ce qu'il faut endurer en commun. (Et aussi, cela me ramène à une de mes lectures en cours : LA FRAÎCHEUR DE L'HERBE, d'Alain Corbin. Un petit livre magnifique où l'auteur - un historien - nous promène dans les émotions nées au contact des prés et prairies; en nous offrant ici et là une foultitude de citations cueillies dans la littérature depuis l'Antiquité à nos jours.)
Ce cliché d'une prairie givrée, je le ressens comme une image possible du bonheur. Bien sûr au-moins celui du promeneur solitaire au petit matin, quand il est tout à l'écoute, que tout est promesse, qu'il peut se pencher avec humilité et disponibilité autant que joie et quiétude sur ce sol émouvant où nos vies retourneront. Mais au-delà, comme une image idéale possible d'une égalité fraternelle dans le multiple où l'on voit qu'est supporté avec élégance ce qu'il faut endurer en commun.
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Merci pour ton message. Une image possible du bonheur, voilà qui me parle.
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