On arrive au pont provisoire. C'est un endroit étrange, une sorte de no man's land. Ça doit ressembler à certains points de passage entre l'Ukraine proprement dite et les républiques sécessionnistes pro-russes (de Donetsk et de Lougansk). On s'attend à voir un checkpoint avec des miliciens armés.
Ou bien (anticipation politique), un point de passage entre Bruxelles (partie intégrante de la République de Wallonie-Bruxelles) et les parties de la ville occupées par la VNL (Vlaams Nationaal Leger - Armée Nationale Flamande).
Une République de Wallonie-Bruxelles. Seriez-vous régicide ? Qu'allez-vous faire de ce pauvre Philippe ?
RépondreSupprimerCarmilla
Ah ah ! C'est évidemment de la politique-fiction. Mais si la Belgique éclatait en deux entités, je ne crois pas que la monarchie pourrait survivre. Et en plus, de quoi Philippe serait le roi : Flandre ou Wallonie-Bruxelles ?
RépondreSupprimerLa Flandre, est-ce que ça n'ouvrirait pas la voie à un rattachement à la Hollande ? la Wallonie-Bruxelles, est-ce que vous ne pourriez pas l'expédier au Congo pour essayer de réparer l’œuvre de son ancêtre, Léopold ?
RépondreSupprimerCarmilla
L'oeuvre de son ancêtre ? Il a quand même plus ou moins pillé le pays...
RépondreSupprimerPour le Congo, je recommande absolument le livre de David Van Reybrouck, "Congo", tout simplement.
Zut, je crois que mon commentaire s'est perdu. Stricto sensu, Léopold II n'est pas l'ancêtre de Philippe de Belgique (ou de Saxe Cobourg), puisqu'il descend d'Albert, fils cadet de Philippe comte de Flandre, lui-même fils cadet de Léopold Ier (lui est leur ancêtre commun). Mais bon, ... Pivoine.
RépondreSupprimerIl y en a même qui disent que le prince Laurent n'est pas le fils d'Albert II, mais d'un des amants de Paola. Quelle histoire ! (vive la République).
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