lundi 28 janvier 2019

Les boules vertes (3)


A la demande de Carmilla, un "crop" à 100 % de l'image, pour montrer ce que le capteur du X-E2 (format APSC, 16 MPix), avec le zoom 50-230 mm à fond de range (donc 230 mm) peut donner, en plus au 1/30ème de seconde à f6,7 (vive la stabilisation).

dimanche 27 janvier 2019

Les boules vertes (2)


Essai de recadrage.

Les boules vertes (1)


Je remarque ces deux boules vertes de l'autre côté d'un des étangs d'Ixelles, vus de mon balcon. Je prends mon télézoom Fuji 50-230 à fond de range (230 mm, l'équivalent de 345 en 24x36) et j'isole ces boules du décor.

vendredi 25 janvier 2019

Pacha (2)


Ici, Pacha est l'exemple même à suivre pour la détente totale. 

Comme je n'ai plus d'autres images à montrer pour l'instant, je fais une petite pause. Depuis que ce nouveau blog a été créé en avril 2018, j'ai publié un peu plus de 500 billets, essentiellement sous forme de photographies.

mercredi 23 janvier 2019

La pénombre et les bougies


Dans la salle à manger, à Avioth, lors d'un retour au calme après une matinée un peu trop animée.

Un peu de neige (2)


A Avioth, il y a quelques jours, le potager était devenu tout blanc.

lundi 21 janvier 2019

Déjeuner de travail (1)


Des aliens (déguisés en tranches de potiron) sont venus récemment à Avioth. Tout en réaffirmant leurs intentions pacifiques, ils ont organisé un déjeuner de travail dans la salle à manger.

D'en haut


Une base lunaire ? Eh non, un simple carton à oeufs.

dimanche 20 janvier 2019

Le petit bonhomme


Une mère et ses deux enfants avaient séjourné une semaine à Avioth en novembre. La petite fille, Albina, a réalisé ce joli dessin avec des magnets, sur le frigo.

jeudi 17 janvier 2019

Choux Kale (1)


A Avioth, dans le potager, il y a depuis peu des choux Kale, très à la mode aujourd'hui. Nous les avons dégustés plusieurs fois, mitonnés avec du boeuf haché ; c'est très bon.

mercredi 9 janvier 2019

L'automne à Avioth (2)


Variante...

L'automne à Avioth (1)


L'automne, à Avioth ou ailleurs, je le savoure. Le vert omniprésent et envahissant de l'été s'en va enfin, les couleurs deviennent chaudes, le jaune, l'orange, le rouge, le brun. J'attends l'automne tout l'été, j'ai hâte qu'il revienne, et quand il est là, je voudrais qu'il dure, dure. Avec du ciel bleu peut-être, mais plus sûrement avec des nuages, des nuées, voire un bon vieux couvercle gris. 

Sur le faîte


dimanche 6 janvier 2019

Poules (1)


A Avioth, il y a donc une basse-cour merveilleuse, justement dénommée "Au bonheur des poules", où on peut voir de beaux spécimens de poules blanches et rondes.

L'automne à Avioth


Une petite série d'images prises à Avioth en novembre, lors d'un bel automne, la saison que je préfère, et de loin. Ce jour-là, une très belle lumière et un ciel gris mettaient la basilique en valeur.

samedi 5 janvier 2019

Le gris et les couleurs


A Avioth, on a utilisé récemment un tissu absorbant pour le toit d'une pergola. Ce matériau, fait de tissus de récupération amalgamés, m'a paru d'un grand intérêt graphique.

vendredi 4 janvier 2019

Films vus (et recommandés)


Quelques films vus récemment, que ce soit en salle ou sur DVD.

"La révolution silencieuse" de Lars Kraume (2018). Ce réalisateur nous avait déjà offert le magnifique "Fritz Bauer" (2015), où il retraçait l'action déterminée de ce procureur ouest-allemand, décidé à traîner les responsables du camp d'extermination d'Auschwitz devant la justice. 

Ici, Kraume évoque un épisode oublié de l'histoire de la RDA :  en 1956, toute une classe de lycéens décide d'observer une minute de silence à la mémoire des révolutionnaires hongrois, écrasés par l'intervention soviétique. Ce geste de dissidence fera l'objet d'une enquête tatillonne et impitoyable, et ces jeunes paieront leur audace par leur exclusion du système scolaire est-allemand.

"Cold war" de Pawel Pawlikowski. Le réalisateur du très remarqué et superbe "Ida" nous offre ici une histoire d'amour flamboyante et mélodramatique entre un musicien et une chanteuse, dans la Pologne communiste du début des années 50. L'un choisira de passer à l'Ouest, l'autre restera en Pologne pour le meilleur et pour le pire. Une photographie superbe, des noirs et blancs somptueux.

"Sacrifice" ("Burning bush") d'Agnieszka Holland (2013). La réalisatrice polonaise signe ici une mini-série tchèque, conçue pour la télévision et ensuite projetée en salles et éditée en DVD. Une reconstitution minutieuse, poignante et extraordinairement crédible des événements qui ont suivi l'immolation par la feu de l'étudiant Jan Palach, pour protester contre l'écrasement du "Printemps de Prague" par l'Union Soviétique.

"Au poste !" de Quentin Dupieux. J'avais déjà découvert en DVD quelques films de Dupieux, dont l'excellent et délirant "Rubber". Ici, il nous offre une nuit dans un poste de police, délirante et hilarante à la fois, avec un Benoît Poelvoorde en pleine forme.

"Bains publics" de Kita Bauchet. Un magnifique et sensible documentaire sur les Bains de Bruxelles, au coeur des Marolles, où se côtoient personnes en précarité, vieux habitués, enfants, Belges et étrangers.

"La servante écarlate", saison 2. J'avais lu le roman éponyme de Margaret Atwood, vu l'adaptation faite par Volker Schlöndorff (1990), et vu aussi la saison 1 de la série qui décrit cet univers dystopique où les Etats-Unis, pour leur plus grande part, ont été remplacés par un Etat intégriste et totalitaire basé sur l'Ancien Testament, la République de Gilead. On continue à suivre la destinée d'une "servante" vêtue de rouge, dont la mission, comme celle des autres servantes, est de donner des descendants aux chefs de cet Etat théocratique, qui subit, comme le monde entier, une chute vertigineuse de la fertilité des femmes. C'est glaçant, crédible, magnifiquement réalisé et visuellement splendide.

mercredi 2 janvier 2019

Livres lus (et recommandés)


Ancienne usine Sket, fabricant d’équipements mécaniques, à Magdeburg (ex-RDA) en 1997. Photo Jörn Vanhöfen (Ostkreuz).

Sur mon ancien blog (sur Skynet), je publiais assez régulièrement des billets où je parlais des livres que j'avais lus, des films que j'avais vus, et que je vous recommandais. 

C'est donc une première ici, sur ce nouveau blog inauguré en avril 2018.



"Le pays disparu. Sur les traces de la RDA" de Nicolas Offenstadt. L'auteur, professeur à la Sorbonne et spécialiste de l'Allemagne, a effectué de nombreux voyages dans l'ex-Allemagne de l'Est communiste, pour partir à la découverte de son patrimoine oublié, effacé parfois. Une plongée passionnante dans le passé.

"Les guerres perdues de Youri Beliaev" de Pierre Sautreuil. L'auteur, un jeune journaliste d'à peine 25 ans, signe ici un récit plein de maturité et de talent sur ses rencontres avec un nationaliste russe de 58 ans, en rupture de ban, qui est venu se réfugier dans la république populaire de Lougansk, entité autoproclamée du Donbass, dans l'est de l'Ukraine. Beliaev s'est mis au service d'une des milices de cette république, en proie à la violence, à la corruption et aux abus de pouvoir.

"Là où se mêlent les eaux" de Laurent Geslin et Jean-Arnault Dérens. Ces deux journalistes ont embarqué pour un périple en bateau, parfois du cabotage, le long des côtes des Balkans (ex-Yougoslavie, Albanie, Grèce, Turquie) et puis avec toutes sortes de moyens de transport jusqu'en Géorgie, en Russie, en Ukraine, pour terminer dans le delta du Danube. Rencontres improbables, passé omniprésent, mosaïque des peuples, des langues et des religions, conflits apparemment inextricables (Abkhazie, Transnistrie).

"Le lièvre de Patagonie" de Claude Lanzmann. Une passionnante autobiographie, foisonnante. Toute la dernière partie est consacrée à la genèse de son film-fleuve, "Shoah".

"Quand j'aurai vingt ans" d'Alain Mabanckou. Un savoureux roman autobiographique, où l'auteur raconte son enfance dans la ville de Pointe-Noire, au Congo-Brazzaville, dans les années 70-80.

"J'ai couru vers le Nil" d'Alaa El-Aswany. L'auteur de "L'immeuble Yacoubian" nous livre ici un roman choral sur la révolution égyptienne de 2011 et ses prémices. Il est impitoyable avec les abus de pouvoir, la corruption, l'instrumentalisation moralisatrice et hypocrite de l'islam.

"Les amnésiques" de Géraldine Schwarz. L'auteure, journaliste et réalisatrice franco-allemande, plonge dans l'histoire de sa famille, du côté paternel à Mannheim, où son grand-père, sans être à proprement parler un nazi, a racheté à bas prix une entreprise de produits pétroliers à un de ses concitoyens juifs. Les grands-parents paternels de Géraldine Schwarz furent des "Mitlaüfer", des gens qui ne se sont pas opposés au régime, qui s'en sont accommodés, et qui en ont parfois bénéficié. Le grand-père maternel de l'auteure, quant à lui, fut gendarme sous le régime de Vichy. L'oubli, l'effacement, le silence ont fait leur oeuvre. Géraldine Schwarz plonge dans le passé familial, retrouve la trace des accommodements, des petites concessions, et part ensuite sur une intéressante réflexion sur le travail de mémoire par rapport aux crimes des régimes totalitaires.