vendredi 10 novembre 2023

Au couchant (2)


L'image précédente, recadrée. Nul trucage ici ; la lumière, un soir, fut comme ceci, rouge.

5 commentaires:

  1. Belle image (meilleure, à mon goût, que la précédente) et belle lumière,

    C'est le gros avantage des numériques. Avec les capteurs actuels, l'image "encaisse" bien des agrandissements, recadrages, importants. Leica va jusqu'à prétendre que son dernier Q3 (facturé plus de 5 000 € pour un simple 28 mm fixe) offre une plage de focales du 28 mm au 90 mm. Mais c'est mensonger parce que ce 'est que du zoom numérique et que la définition est médiocre à 90 mm.

    Mais c'est vrai que, du moment qu'on ne veut pas faire de grands tirages, on peut souvent se passer de téléobjectif.


    Bien à vous,

    Carmilla

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  2. Merci Carmilla.
    Mon Fuji X-E2, qui va bientôt avoir dix ans, et qui marche toujours parfaitement, a un capteur de 16 mégapixels. La plupart des Fuji actuels en ont 26, et certains modèles même 40.
    Mais pour mon usage, 16 Mpix sont amplement suffisants. J'ai assez souvent recadré, ces derniers temps, parce que j'ai beaucoup utilisé mes focales fixes depuis un an (27 mm 2,8 ultra-compact, 35 mm 1,4), et parfois j'ai eu recours au recadrage, parce que je n'avais pas de zoom avec moi.
    Le Leica Q3 me semble surdimensionné et évidemment très onéreux. Nikon, de son côté, vient de sortir le Nikon Zf, un hybride 24x36 qui a un beau look classique, style argentique années 80. Il aurait pu me tenter, mais il est trop lourd et encombrant pour mon usage, et mon Fuji me suffit amplement.

    Pour le Nikon Zf, voir ici :
    https://www.lesnumeriques.com/reflex-hybride/prise-en-main-nikon-z-f-un-avant-gout-d-hybride-plein-format-tres-allechant-n213620.html

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  3. 16 Mpix, ça suffit en effet amplement sauf si vous envisagez une exposition avec de très grands tirages.

    L'encombrement et le poids, ça devient, en effet, très important. Mon Nikon équipé d'un zoom 24-1O5 mm, ça fait plus de deux kilos. S'y ajoute un autre zoom 80-200 mm f 2,8 qui pèse largement plus d'un kilo. Se trimballer avec ça, ça n'est pas possible.

    Et puis, je remarque que le regard porté sur les gens qui ont un véritable appareil photographique (et sont de moins en moins nombreux) n'est plus très favorable. Il est même parfois hostile au point qu'opérer dans une rue n'est pas toujours facile. A cet égard, le smartphone offre, en effet, une toute autre facilité.

    Ce Nikon Zf apparaît, en effet, très attrayant. Son emploi apparaît d'abord simple avec des molettes dédies à la sensibilité, au diaphragme et à la vitesse. Sur mon D 610, les menus sont tellement aberrants et compliqués qu'accéder à ces fonctions simples, c'est tout un bazar. Du coup, je travaille en tout automatique mais c'est frustrant.

    Mais le problème, c'est que Nikon vient de changer de baïonnette et que la bague adaptatrice pour les anciens objectifs coûte un prix délirant (300 €).

    Je continue donc de m'interroger,

    Bien à vous,

    Carmilla

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  4. Superbe, Nuages !!!!

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