vendredi 27 août 2021

Dans la campagne bruxelloise (1)


Neerpede, dans l'ouest de la commune d'Anderlecht, est en quelque sorte une zone rurale bruxelloise. Prés, vaches, champs.

4 commentaires:

  1. Et aussi un nuage de gros oiseaux. Qu'est-ce que ça peut être ? J'imagine mal des corneilles ou des corbeaux en aussi grand nombre.

    Bien à vous,

    Carmilla

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  2. Je suis allé voir la photo originale de près, et ces oiseaux sont bien noirs. L'hypothèse "corneilles" est donc bien vraisemblable.

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  3. Il est vrai qu'on est près de Bruxelles et que les municipalités des grandes villes (Paris, Prague) laissent souvent proliférer les corneilles. J'ai ainsi appris que les corneilles permettaient de lutter contre la surpopulation des pigeons. Elles sont, dans cette tâche, aussi efficaces que des rapaces. Elles s'attaquent en effet aux nids des oiseaux et dévorent les oeufs et les oisillons. C'est en fait un oiseau très intelligent et cruel, redouté par les autres oiseaux. Dans le Parc Monceau, près duquel j'habite, j'ai ainsi remarqué qu'elles s'attaquaient aux petits canards. Et dans mon jardin, toute une colonie de merles vient de s'installer. Je crois que l'une des raisons est la sécurité qu'il offre : aucune corneille n'a encore osé s'y aventurer.

    A Paris, on trouve également maintenant des populations importantes de perruches à collier (surtout dans les parcs et les cimetières). Ces perruches de grande taille, très jolies et provenant d'Afrique, se sont acclimatées après s'être échappées à l'issue d'un transport aérien. Elles sont maintenant présentes dans toutes les grandes villes du Nord de l'Europe. Est-ce le cas à Bruxelles ?

    Bien à vous,

    Carmilla

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  4. Oui, à Bruxelles, dans certains parcs et certaines avenues arborées, on assiste, depuis quelques années, à la prolifération des perruches à collier (vertes). Devant chez moi, aux étangs d'Ixelles, elles sont très nombreuses. A la tombée du jour, elles font beaucoup de raffut dans les marronniers. Le soleil couché, c'est fini.
    Finalement, leurs nuisances sonores sont moindres que celles des bernaches du Canada, calmes quand elles sont à terre ou quand elles nagent dans les étangs, mais très bruyantes dès qu'elles se perchent sur des branches élevées, des toits, des cheminées.

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