Il y a un an déjà, après avoir lu le livre de Jean-Paul Kauffmann, "Venise à double tour", où il narre sa recherche éperdue des moyens pour se faire ouvrir les nombreuses églises vénitiennes fermées depuis longtemps, j'ai eu envie de retourner à Venise, où j'étais allé en 1998.
En octobre 2020, déjà, il fallait porter le masque partout dans la ville, comme partout en Italie, même en extérieur, et j'ai renoncé. En mars 2021, lors des nouvelles vagues, les voyages à l'étranger sont devenus difficiles voire impossibles.
En octobre 2021, j'ai donc, enfin, passé deux semaines à Venise. J'ai vu et revu des endroits merveilleux, je me suis baladé partout, et j'ai pris de nombreuses photos.
Voici donc le début d'une nouvelle série d'images, qui sera longue, étalée sur plusieurs semaines.
Au départ, j'étais près du hublot, et je n'ai évidemment pas résisté au désir de prendre des photos en vol.
J'ai lu dans la présentation de "Venise à double tour" :
RépondreSupprimer«L'histoire est partie d'une église d'Ille-et-Vilaine où, enfant, l'auteur servait la messe. Il s'y ennuyait souvent, mais, dans ce sanctuaire, il a tout appris. Là, est née la passion de se voir livrer le secret de la chose ignorée ou défendue.»
Si on ne lisait que ça, on pourrait penser que c'est sexuel.
C'est universel, en fait, chercher à voir ce qui est caché et inaccessible.
RépondreSupprimerJe pensais que vous aviez pris le train, plus cher mais plus intéressant. Depuis la France, on gagne Lausanne puis les lacs et Milan. Et on peut même poursuivre jusqu'à Trieste. Mais je ne sais pas quel peut être le parcours depuis Bruxelles. Faut-il passer par Paris ?
RépondreSupprimerCarmilla
J'ignore si un tel parcours est possible depuis Bruxelles. Si on pouvait aller à Berlin ou à Vienne en train de nuit, je le ferais peut-être. Dans mon cas, survoler les Alpes enneigées (en tout cas leurs plus hauts sommets) et, au retour, voir Venise et ses îles, dans la lagune, au crépuscule, c'était très beau.
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