Pour clore en beauté cette série sur l'hyperréalisme, une oeuvre de Sasha Krzouschtenstein, "Fire ! Fire ! Fire !" (1999). La beauté des aplats rouges, contrastant avec le blanc de l'oeuvre, est confondante.
Oui. Oui oui. Euh non. Non non. Ce sont des vrais extincteurs et des vrais logos anti-incendie. Parfois, je me poste devant de telles oeuvres involontaires, l'air concentré et pénétré, et ça amuse de temps en temps des visiteurs qui passent par là.
Jolie manière de terminer ta série ! :)
RépondreSupprimerAh Pastelle ! Toi aussi tu viens ici !
SupprimerTu es certain que l'un des deux extincteurs n'est pas une œuvre hyperréaliste ?
RépondreSupprimerÀ mon avis celui de droite… À moins que ce soit celui de gauche…
@ Pastelle : merci ;o)
RépondreSupprimer@ Individu 1671137 (né le 167 novembre 1937 ?) : je crois plutôt que c'est le petit boîtier d'alarme carré !
Je ne suis pas né le 167 novembre 1937 mais il y a de l'idée… d:-)
Supprimerun garçon (1) né en 1967 (67) en novembre (11) en Indre-et-Loire (37)
Supprimer;-)
Ou un admirateur de Francis Bebey ?
RépondreSupprimerhttps://1671137.fr/lefil/
Vous prolongez le geste de Marcel Duchamp qui, en exposant un urinoir, a montré qu'on pouvait faire d'un objet usuel une œuvre d'Art en déplaçant simplement son contexte.
RépondreSupprimerCarmilla
Oui, je connais cet événement de l'histoire de l'art. Je fais de temps à autre des parodies de l'art contemporain en photographiant des objets de la vie quotidienne que l'on pourrait voir comme de "l'art involontaire".
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