La balade passa ensuite près du Pavillon chinois, en piètre état, mais qui devrait être bientôt restauré. Détail d'une sculpture du petit kiosque situé près du Pavillon.
Evidemment, ces monuments (chinois et japonais) sont d'une authenticité relative. Mais ils témoignent bien, quand même, de l'étrange fascination de l'Europe pour l'Extrême-Orient.
Surtout quand elle vient du "Bon Roi" Léopold II.
Mais, c'est quand même une curiosité positive qui a eu une influence esthétique certaine.
Si vous avez lu l'article de Wikipédia que j'ai mis en lien, vous avez vu que les éléments de ce kiosque et ceux de la façade principale du Pavillon chinois ont été réalisés en Chine, à Shanghai, dans une école d'artisanat chinoise, certes sous la direction d'un jésuite belge.
Ce Pavillon et la Tour japonaise, non loin, sont un patrimoine exceptionnel, et j'espère qu'ils seront bientôt rénovés et à nouveau accessibles au public.
Evidemment, ces monuments (chinois et japonais) sont d'une authenticité relative. Mais ils témoignent bien, quand même, de l'étrange fascination de l'Europe pour l'Extrême-Orient.
RépondreSupprimerSurtout quand elle vient du "Bon Roi" Léopold II.
Mais, c'est quand même une curiosité positive qui a eu une influence esthétique certaine.
Carmilla
Si vous avez lu l'article de Wikipédia que j'ai mis en lien, vous avez vu que les éléments de ce kiosque et ceux de la façade principale du Pavillon chinois ont été réalisés en Chine, à Shanghai, dans une école d'artisanat chinoise, certes sous la direction d'un jésuite belge.
RépondreSupprimerCe Pavillon et la Tour japonaise, non loin, sont un patrimoine exceptionnel, et j'espère qu'ils seront bientôt rénovés et à nouveau accessibles au public.