Dans une rue du vieil Ostende, le bâtiment de l'ancienne imprimerie Omnia. On remarque les inscriptions bilingues, qui ne seraient plus de mise dans la région flamande actuelle, unilingue.
Ca devient évidemment un énorme problème s'il n'y a plus, nulle part, d'inscriptions publiques dans les deux langues. Est-ce que ça va jusqu'à être interdit ?
Les inscriptions sur les bâtiments publics doivent être unilingues néerlandaises en Flandre, tout comme elles doivent être unilingues françaises en Wallonie. A Bruxelles, le bilinguisme est de règle. Pour les inscriptions sur les bâtiments privés, les commerces, etc., je pense que ça reste libre. A Bruxelles, par exemple, l'anglais devient envahissant : beaucoup de commerces n'affichent que des inscriptions en anglais, peut-être pour attirer une clientèle internationale ou "expatriée".
Ca devient évidemment un énorme problème s'il n'y a plus, nulle part, d'inscriptions publiques dans les deux langues. Est-ce que ça va jusqu'à être interdit ?
RépondreSupprimerCarmilla
Les inscriptions sur les bâtiments publics doivent être unilingues néerlandaises en Flandre, tout comme elles doivent être unilingues françaises en Wallonie. A Bruxelles, le bilinguisme est de règle.
RépondreSupprimerPour les inscriptions sur les bâtiments privés, les commerces, etc., je pense que ça reste libre. A Bruxelles, par exemple, l'anglais devient envahissant : beaucoup de commerces n'affichent que des inscriptions en anglais, peut-être pour attirer une clientèle internationale ou "expatriée".