Une petite parenthèse urbaine dans cette série campagnarde : les étangs d'Ixelles vus de chez moi. Une image du temps suspendu, ce dimanche 25, avec un temps gris, frais, et parfois de la pluie, bref un temps que j'aime pour hiberner, lire, ou regarder un documentaire d'Arte, passionnant, sur le procès de Prague en 1952 :
https://www.arte.tv/fr/videos/097527-000-A/le-proces-prague-1952/
C'est gris, gris, en effet. On ne peut pas dire que la municipalité d'Ixelles, pourtant banlieue bourgeoise, ait abusé des décorations de Noël. Est-ce que c'est comme ça tous les ans ou est-ce qu'on craint, cette année en Belgique, une "opération spéciale" (par exemple l'Allemagne venant au secours de la communauté germanophone que vous persécutez) ?
RépondreSupprimerBien à vous,
Carmilla
Ixelles est en fait une commune très hétérogène, avec des quartiers populaires, des quartiers branchés, et des quartiers bourgeois. A deux pas de chez moi, il y a par exemple un quartier portugais, avec plein de petits restos sympathiques, avec de la cuisine savoureuse à prix démocratiques.
RépondreSupprimerA part ça, la commune n'a pas exagéré les décorations de Noël, que j'abhorre par ailleurs.
Quant à la communauté germanophone (70.000 personnes), elle jouit d'une grande autonomie culturelle, avec son mini-parlement, son exécutif qui a de larges compétences.
Puisque vous êtes en Pologne, même si ça leur fait une belle jambe, transmettez mes sentiments solidaires aux Ukrainiens que vous rencontrez. J'ai toujours mon drapeau à ma fenêtre, et un "pin's" aux couleurs ukrainiennnes au revers de ma veste.
Je n'ai pu passer que 6 jours en Pologne. Mais c'est vrai que dans les grandes villes, la proportion d'Ukrainiens est impressionnante. J'en parlerai bientôt dans mon blog.
RépondreSupprimerCarmilla