dimanche 27 février 2022

L'Europe de demain ?


L'Europe de demain, c'est ça ? Avec des pays disparus, dévorés ? Que peu de monde distinguera sur la carte, parce l'ignorance de la majorité des gens est abyssale. Je ne suis nullement slave, je suis un Belge francophone, quantité quasi négligeable en Europe, mais l'invasion de l'Ukraine me bouleverse, me révolte, me remplit de chagrin et de colère.

4 commentaires:

  1. chagrin, colère, tristesse, angoisse, tout ça oui

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  2. Mais c'est vrai que la Russie est aujourd'hui un peu à l'étroit.

    Quand on pense que 12 M de Belges se prélassent à l'intérieur de 31 000 kms² et qu'il faut presque une matinée pour traverser le pays d'Est en Ouest, c'est révoltant. Ils pourraient tout de même en céder un peu à leurs voisins. Et puis, il paraît que leur gouvernement néo-nazi procède à un génocide de la communauté francophone. D'ailleurs, la Belgique, ça n'existe que depuis peu de temps et c'est un Etat complétement artificiel qui n'a même pas de langue nationale.

    Heureusement le Président français envisage d'élargir l'accès de son pays à la Mer du Nord. Comme la Belgique n'a pas d'arme nucléaire, ça sera réglé rapidement et, probablement, même sans combattre tant la population belge sera reconnaissante de sa libération par l'armée française. C'est seulement dommage qu'il ait fallu, à cause de quelques nationalistes, raser le Grand-Place de Bruxelles et la ville de Bruges. Mais on a réussi à préserver le quartier des diamantaires d'Anvers.

    Carmilla

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  3. Scénario à la fois savoureux, très drôle, et terriblement vrai...

    Alternative : c'est la Belgique qui est à l'étroit. Elle va d'abord annexer le Grand-Duché de Luxembourg, micro-état folklorique enrichi grâce à la fraude fiscale, et qui a le toupet de porter le même nom qu'une province belge. C'est aussi grave que la Macédoine (Skopje) qui avait l'impudence d'arborer le même nom qu'une grande province du nord de la Grèce.

    Ensuite, la Belgique, après avoir mis la main sur les richesses du Luxembourg, ne s'arrêtera pas là : elle lancera une "opération militaire spéciale" en Allemagne, pour récupérer toute la rive gauche du Rhin, et se doter ainsi d'une magnifique frontière naturelle.

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