Non, pas du tout. En tout cas, je n'ai pas remarqué de foule de pigeons. Il est vrai que je n'ai fait que traverser la place Saint-Marc, bondée, elle, de touristes.
J'étais, je suis à certains moments, un touriste, mais je ne m'agglutine pas là où se regroupent les foules. Pour les Vénitiens, le tourisme est à la fois une manne (en tout cas pour certains d'entre eux) et un fléau (pour d'autres, parce que le tourisme est presque devenu une "mono-industrie" dans cette ville).
J'en suis ravi ! Déjà en 1998, lors de mon premier passage à Venise, j'avais pu observer que les deux tiers, au moins, de la ville, étaient en dehors des flux touristiques. J'ai largement parcouru ces deux tiers, et j'ai visité certains endroits deux ou trois fois, tellement ils étaient calme et "vrais".
Est-ce qu'ils sont toujours aussi nombreux ? Ils commençaient à devenir une plaie.
RépondreSupprimerBien à vous,
Carmilla
Non, pas du tout. En tout cas, je n'ai pas remarqué de foule de pigeons.
RépondreSupprimerIl est vrai que je n'ai fait que traverser la place Saint-Marc, bondée, elle, de touristes.
Serait-il ici sous-entendu que les touristes sont une plaie ou ai-je mauvais esprit ?
SupprimerJ'étais, je suis à certains moments, un touriste, mais je ne m'agglutine pas là où se regroupent les foules.
RépondreSupprimerPour les Vénitiens, le tourisme est à la fois une manne (en tout cas pour certains d'entre eux) et un fléau (pour d'autres, parce que le tourisme est presque devenu une "mono-industrie" dans cette ville).
J'aime ici regarder des photographies de Venise hors du circuit touristique !
SupprimerJ'en suis ravi ! Déjà en 1998, lors de mon premier passage à Venise, j'avais pu observer que les deux tiers, au moins, de la ville, étaient en dehors des flux touristiques. J'ai largement parcouru ces deux tiers, et j'ai visité certains endroits deux ou trois fois, tellement ils étaient calme et "vrais".
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