dimanche 7 janvier 2024

Riz à l'iranienne (tentative) (1)


A Avioth, une des résidentes de passage aime bien faire la cuisine, et notamment du poulet avec une recette d'inspiration iranienne, avec des aubergines, du safran, du citron. Elle a fait une tentative de cuisson de riz à l'iranienne, avec la formation d'une croûte dans le fond de la casserole. Ce n'était pas encore tout à fait convaincant, lors de la dégustation, mais c'était en tout cas esthétique.

4 commentaires:

  1. Hello Nuages ! Ce n'est pas très difficile à faire o:) je le fais même dans une petite casserole avec du riz en sachet à cuire au micro ondes... Je crois que je le cuis 2 min, puis dans une casserole, soit à fond tefal, soit sur du papier alu avec de l'huile d'olive, on fait des trous dans le riz, pour que la vapeur en sorte, du safran, mais en filaments, puis je pose un couvercle avec une serviette de cuisine bien emballée autour. Je surveille la cuissons parce que la croûte ne doit pas être trop dure... On peut ajouter des baies sûres (je ne sais plus le nom) qu'on trouve dans une épicerie iranienne à st gilles ............. Ou des cerises acides (iraniennes aussi).

    Pivoine

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  2. Je ne sais pas si c'est facile à faire, je n'ai pas participé. Mais à la dégustation, c'était perfectible : la croûte était un peu dure, et il fallait bien mastiquer les grains de riz, pas assez tendres à mon goût.

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  3. Voici une des rares recettes culinaires que je maîtrise et pratique régulièrement.
    D'après ce que je vois, il faut bien aboutir, en effet, à cette croûte brunâtre de riz. Mais le riz doit être léger, presque sec, un peu comme un gâteau. Là, j'ai l'impression qu'il est un peu gluant et lourd.

    Le premier problème, c'est que tout repose d'abord sur la qualité du riz. Avec un riz ordinaire, on n'arrivera jamais à rien. Les épiceries iraniennes ne sont peut-être pas très nombreuses à Avioth. A défaut, le riz basmati thaïlandais pourra faire l'affaire.

    On commence d'abord à faire bien chauffer son riz dans le beurre. On ajoute ensuite l'eau. Tout le problème est alors de faire cuire son riz avec un minimum d'eau, presque uniquement à la vapeur. Les deux litres d'eau évoqués m'apparaissent ainsi nettement excessifs.

    On recouvre sa casserole d'un torchon et, au dessus, d'un couvercle. Quand on voit des trous apparaître à la surface du riz, c'est presque fini. On attend simplement un peu, le temps que la croûte brunisse.

    Après, on ajoute le safran en filaments (et non dans la cuisson) et, éventuellement, un jaune d'œuf.

    Si on ne sent pas capables, on peut aussi avoir recours à une machine à cuire le riz japonaise. Ca donne de bons résultats et c'est très facile d'utilisation. Il suffit de pousser un peu la cuisson pour faire brunir le riz. Ca se trouve maintenant facilement si ce n'est à Avioth du moins à Bruxelles. Ca vaut le coup: ça n'est pas cher et ça permet de découvrir ce qu'est vraiment le bon riz. Ce qu'on mange en Europe, c'est généralement horrible en comparaison.

    Bien à vous,

    Carmilla

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  4. Le riz lui-même était plutôt bon, mais c'est la croûte qui ne m'avait pas convaincu : trop dure, les grains de riz étant même "coriaces" et peu agréables à mastiquer. Je peux copier votre recette et la transmettre à la personne concernée si, d'aventure, elle voulait refaire cette recette.

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