Je mets souvent la table à Avioth. Ce jour-là, on devait bien être douze, ce qui est un peu beaucoup. Mon chiffre idéal serait plutôt de six à huit ; convivialité mais pas foule.
Et qui fait la vaisselle et la cuisine ? 12 personnes, je n'arrive même pas à mesurer la corvée que ça peut être. Ca devient vite un motif de discorde surtout si la cuisine du chef n'est pas appréciée.
Mieux vaut en effet de petites tablées. Mais les grandes assemblées ont du moins un avantage: on n'est plus obligé de parler, on peut se contenter d'écouter et observer.
Il y a souvent une ou l'autre personne qui prend l'initiative de faire la cuisine. D'autres s'activent pour l'épluchage et la découpe, j'aime bien faire ça, on est deux ou trois maximum, c'est une activité conviviale qui favorise la conversation. Pour la vaisselle, c'est collectif (lavage, essuyage, rangement). En général ceux qui ont cuisiné ne font pas la vaisselle, mais rangent les assiettes, les couverts, les verres, les casseroles.
Mon chiffre idéal : deux. Belle table ici néanmoins.
RépondreSupprimerDeux peut être bien aussi. Tout dépend du contexte.
RépondreSupprimerEt qui fait la vaisselle et la cuisine ? 12 personnes, je n'arrive même pas à mesurer la corvée que ça peut être. Ca devient vite un motif de discorde surtout si la cuisine du chef n'est pas appréciée.
RépondreSupprimerMieux vaut en effet de petites tablées. Mais les grandes assemblées ont du moins un avantage: on n'est plus obligé de parler, on peut se contenter d'écouter et observer.
Carmilla
Il y a souvent une ou l'autre personne qui prend l'initiative de faire la cuisine. D'autres s'activent pour l'épluchage et la découpe, j'aime bien faire ça, on est deux ou trois maximum, c'est une activité conviviale qui favorise la conversation. Pour la vaisselle, c'est collectif (lavage, essuyage, rangement). En général ceux qui ont cuisiné ne font pas la vaisselle, mais rangent les assiettes, les couverts, les verres, les casseroles.
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