Mais attention à ne pas vous prendre, en plein dans votre balcon, un de ces missiles hypersoniques dont se vante la Russie qui vient d'en débuter l'utilisation (mais je suis sceptique tant je connais les fanfaronnades russes).
Tous ces petits gestes de citoyens, comme le vôtre, me laissent espérer que l'Europe ne sera pas tentée, dans quelques mois, de reprendre, comme en 2014, des relations normales avec la Russie. Personne ne pourrait comprendre, je crois, que l'on "passe l'éponge". C'est quand même bien un combat existentiel démocratie/totalitarisme.
Je suis peut-être un précurseur, mais ici à Bruxelles je ne vois à peu près aucun drapeau ukrainien aux balcons. Sur certains édifices publics oui, et j'en ai même remarqué quelques-uns aux environs d'Avioth (où je suis retourné la semaine dernière), notamment dans la petite ville de Stenay, dans la Meuse.
Je ne sais pas, on parle souvent des valeurs démocratiques européennes. Je veux bien le croire, mais j'y ai surtout toujours vu des valeurs capitalistes, et, sans la foulée de l'Otan, heu, expansionnistes. Le monde me semble bien mal embarqué... (les valeurs capitalistes étant d'ailleurs tout autant partagées par la Russie et par la Chine, par exemple, pour ne citer qu'eux). Mais je suis triste, bien sûr...
Comparons l'Europe d'aujourd'hui avec celle de 1970 : à ce moment-là, trois dictatures de droite dans le sud de l'Europe (Espagne, Portugal, Grèce) et une flopée de dictatures communistes plus ou moins inféodées à l'URSS, à l'Est (RDA, Pologne, Tchécoslovaquie, Hongrie, Roumanie, Bulgarie), ou communistes non-soviétiques (Yougoslavie, Albanie). C'était quand même autre chose.
C'est vrai que je n'ai plus pensé aux trois dictatures dont tu parles. Mais je reste tout de même perplexe par rapport à la politique nationaliste (et xénophobe, le mal du siècle) dans certains pays européens... j'espère qu'il y aura des pourparlers et qu'il finira par y avoir la paix (on peut rêver)
Merci Nuages,
RépondreSupprimerMais attention à ne pas vous prendre, en plein dans votre balcon, un de ces missiles hypersoniques dont se vante la Russie qui vient d'en débuter l'utilisation (mais je suis sceptique tant je connais les fanfaronnades russes).
Tous ces petits gestes de citoyens, comme le vôtre, me laissent espérer que l'Europe ne sera pas tentée, dans quelques mois, de reprendre, comme en 2014, des relations normales avec la Russie. Personne ne pourrait comprendre, je crois, que l'on "passe l'éponge". C'est quand même bien un combat existentiel démocratie/totalitarisme.
Encore merci,
Carmilla
Je suis peut-être un précurseur, mais ici à Bruxelles je ne vois à peu près aucun drapeau ukrainien aux balcons.
RépondreSupprimerSur certains édifices publics oui, et j'en ai même remarqué quelques-uns aux environs d'Avioth (où je suis retourné la semaine dernière), notamment dans la petite ville de Stenay, dans la Meuse.
Je ne sais pas, on parle souvent des valeurs démocratiques européennes. Je veux bien le croire, mais j'y ai surtout toujours vu des valeurs capitalistes, et, sans la foulée de l'Otan, heu, expansionnistes. Le monde me semble bien mal embarqué... (les valeurs capitalistes étant d'ailleurs tout autant partagées par la Russie et par la Chine, par exemple, pour ne citer qu'eux). Mais je suis triste, bien sûr...
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RépondreSupprimerComparons l'Europe d'aujourd'hui avec celle de 1970 : à ce moment-là, trois dictatures de droite dans le sud de l'Europe (Espagne, Portugal, Grèce) et une flopée de dictatures communistes plus ou moins inféodées à l'URSS, à l'Est (RDA, Pologne, Tchécoslovaquie, Hongrie, Roumanie, Bulgarie), ou communistes non-soviétiques (Yougoslavie, Albanie). C'était quand même autre chose.
C'est vrai que je n'ai plus pensé aux trois dictatures dont tu parles. Mais je reste tout de même perplexe par rapport à la politique nationaliste (et xénophobe, le mal du siècle) dans certains pays européens... j'espère qu'il y aura des pourparlers et qu'il finira par y avoir la paix (on peut rêver)
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