En Gaume comme dans bien d'autres contrées, les sapins et autres épicéas ont deux défauts, pour certains : ils font trop d'ombre et ils ne sont pas des espèces locales. Cela les condamne souvent à la décapitation.
Les forêts de sapins sont mystérieuses. Les sons y parviennent atténués d'une façon que je ne peux pas décrire - en été comme en hiver. Il y fait frais parfois, mais chaud aussi et alors, les odeurs sont exacerbées (et on se fait piquer par des tiques). Effectivement, ce ne sont guère des espèces locales.
Plus chaud qu'ailleurs ? Voilà qui me surprend. Espèces locales, espèces locales ? Les Marocains, les Turcs, les Vietnamiens, les Portugais, ne sont pas non plus des "espèces locales" à Bruxelles, à Liège, à Paris et ailleurs. Faut-il alors les éradiquer aussi ?
Surtout, les conifères et résineux rendent stérile la terre alentour. Mais c'est triste car rien n'est plus beau qu'une forêt de sapins.
RépondreSupprimerCarmilla
Rien n'est plus beau, je ne sais pas...
RépondreSupprimerMais en été je goûte leur ombre et leur fraîcheur.
Les forêts de sapins sont mystérieuses. Les sons y parviennent atténués d'une façon que je ne peux pas décrire - en été comme en hiver. Il y fait frais parfois, mais chaud aussi et alors, les odeurs sont exacerbées (et on se fait piquer par des tiques). Effectivement, ce ne sont guère des espèces locales.
RépondreSupprimerPlus chaud qu'ailleurs ? Voilà qui me surprend.
RépondreSupprimerEspèces locales, espèces locales ? Les Marocains, les Turcs, les Vietnamiens, les Portugais, ne sont pas non plus des "espèces locales" à Bruxelles, à Liège, à Paris et ailleurs. Faut-il alors les éradiquer aussi ?