Une plaque commémorative atteste du fait qu'Ambroise Croizat, ministre communiste du travail dans les premiers gouvernements après la Libération, a vécu ici, rue Daguerre. Son importante oeuvre réformatrice (mise en place de la Sécurité sociale) est incontestable.
En même temps (comme dirait Emmanuel Macron), il appartenait à un parti, le Parti communiste français, qui était un soutien inconditionnel de l'Union Soviétique et du stalinisme. Et ce même parti, le PCF, s'il en avait eu l'opportunité, aurait exercé sa dictature, à l'instar des partis communistes tchécoslovaque, hongrois, roumain, bulgare, est-allemand... L'éternelle contradiction du communisme.
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