Les foules de touristes, à Bruxelles, ne manquent pas d'aller voir le Manneken-Pis. Dans les magasins touristiques du quartier, ils en trouveront de toutes les tailles et de toutes les couleurs.
vendredi 28 février 2025
Manneken-Pis (1)
Les foules de touristes, à Bruxelles, ne manquent pas d'aller voir le Manneken-Pis. Dans les magasins touristiques du quartier, ils en trouveront de toutes les tailles et de toutes les couleurs.
Poids plume
Voici l'ensemble que j'aime emporter avec moi pour photographier, en étant le plus léger possible : un boîtier Fuji X-E2 (16 MPixels, ce qui est amplement suffisant) et le petit objectif Fujinon XF 27 mm f2,8 R WR (ultra-léger, mais de qualité, il ne fait que 85 g). L'ensemble boîtier/objectif ne pèse que 435 g environ, ce qui est particulièrement appréciable.
Une focale de 27 mm en format APS-C équivaut à un 40 mm en 24x36 et est quasiment idéale pour moi.
J'attends cependant la future sortie du Fuji X-E5, en principe cet été, qui devrait avoir en principe un capteur stabilisé, ce qui est extrêmement utile pour photographier en basse lumière.
Série bruxelloise
Je commence ici une petite série bruxelloise. C'est parfois dans sa propre ville qu'on photographie le moins. Je me suis donc dit que j'emmènerais plus souvent mon appareil, un Fuji X-E2 avec, par exemple, l'excellent petit objectif 27 mm f2,8, pour glaner des images lors de petits parcours en ville.
Ici, une belle lumière sur des façades de la rue du Lombard, au centre-ville.
jeudi 27 février 2025
mercredi 26 février 2025
mardi 25 février 2025
Résistance
En quelque sorte, cette photo est dans le prolongement du billet précédent. Près du village de Grand-Leez, à l'orée du bois, un mémorial rappelle la mort tragique d'un résistant, Emile Martin, fusillé par les Allemands le 6 septembre 1944, peu de temps avant la libération de la région par les soldats américains.
lundi 24 février 2025
Trois années
Aujourd'hui, ça fait trois ans jour pour jour que la Russie a lancé une offensive de grande ampleur pour envahir l'Ukraine, la soumettre, la démanteler, pour effacer sa souveraineté et sa culture.
J'ai choisi cette image, qui date de la fin 2022, pour marquer cette date. Près de Kherson, dans une région récemment libérée par l'armée ukrainienne, des villageois entourent un soldat, un libérateur. La joie, l'émotion, la reconnaissance se marquent sur les visages. Et ce soldat est enlacé par une villageoise, follement. Cette photo me touche énormément.
Je pense à eux, à tous les Ukrainiens, et je leur souhaite de tout coeur de recouvrer la souveraineté de leur pays, et de vivre à nouveau en paix.
dimanche 23 février 2025
samedi 22 février 2025
vendredi 21 février 2025
Les grandes hélices
A l'horizon, entre les grandes éoliennes qui prolifèrent sur les plateaux et les plaines wallonnes, j'ai vu un clocher qui émerge.
jeudi 20 février 2025
Vert et bleu (3)
Ici aussi, une opposition très photogénique entre les prairies restées à l'ombre, encore givrées, et celles éclairées par le soleil.
mercredi 19 février 2025
Transhumance (1)
Dans le cadre de l'événement "Sentiers d'art", on trouve au milieu des bois cette oeuvre intitulée "Transhumance", du collectif "Les veilleuses".
Un panneau situé à côté de cette réalisation dit ceci : "'Transhumance' évoque le mouvement créé par le besoin vital créé et rythmé par les saisons. Construite avec, entre autres de la laine de mouton, cette structure interroge notre regard sur le 'mouton noir' en tant que représentation d'affirmation individuelle et sur le 'mouton blanc' en tant que symbole du désir de conformité. A travers la laine, c'est aussi un lien vers notre patrimoine paysan que le collectif aborde. Un appel à notre responsabilité du devenir de la terre et de notre civilisation."
Oui. Oui oui. C'est encore le jargon typique de l'art contemporain, dont je m'étais gaussé dans ce billet-ci. En particulier, on retrouve les tics de langage caractéristiques comme "interroge le regard", "en tant que représentation", "à travers la...". Et évidemment, c'est l'oeuvre d'un "collectif", les "veilleuses", ce qui fleure bon l'écoféminisme et le politiquement et écologiquement correct.
En tout cas, quand on parcourt l'oeuvre, en sinuant entre les parois de laine de mouton, ça sent un peu le moisi. Mais bon, dans le paysage, c'est plutôt agréable à regarder.
mardi 18 février 2025
lundi 17 février 2025
dimanche 16 février 2025
Marcescence (1)
La marcescence, c'est la particularité de certains arbres et arbustes, qui gardent leurs feuilles tout l'hiver, avant la pousse des nouvelles feuilles au printemps. Ici, je trouvais cela très esthétique.
samedi 15 février 2025
Vert et bleu (1)
Un versant exposé au soleil, et dont l'herbe est bien verte et, en face, l'autre versant resté dans l'ombre, où les prés sont encore givrés.
vendredi 14 février 2025
Ruisseaux (4)
J'ai pris cette photo-ci au 1/8ème de seconde. Ça change tout : maintenant l'eau du ruisseau apparaît comme un voile flou et mouvant.
Ruisseaux (3)
Comme il avait fait froid la nuit précédente, on voyait encore quelques petites stalactites de glace dans le ruisseau. Ici, la photo, prise au 1/125ème de seconde, fige quelque peu le mouvement de l'eau.
jeudi 13 février 2025
mercredi 12 février 2025
L'ancienne carrière (9)
Dans ce genre de site, il y a encore souvent, à l'intérieur des bâtiments, des machines plutôt photogéniques.
mardi 11 février 2025
lundi 10 février 2025
dimanche 9 février 2025
L'ancienne carrière (1)
Près du village de Sorinne-la-Longue, une ancienne carrière de grès est encore visible dans le paysage, bien que la végétation l'ait recolonisée.
samedi 8 février 2025
Bleu et vert (1)
Ce jour-là, après une nuit très froide, les parties du paysage restées à l'ombre étaient encore givrées, et donc bleues et blanches, alors que les prés exposés au soleil étaient devenus verts. C'était très photogénique.